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Le Colporteur

Le nom choisi Le Colponeur pour présenter la table des matières et un synopsis des principaux contenus des Cahiers d'Histoire se veut un hommage à Lucien Galipeault, un de nos anciens présidents, qui a très tôt compris la valeur patrimoniale des textes édités par notre Société, qui a contribué efficacement lui-même à plusieurs Cahiers et qui avait voulu soutenir la vente de ces trésors historiques en initiant et en compilant du matériel de promotion sous ce titre : Le Colponeur.


Numéro 1          Printemps 1979


• Remerciements à la commission scolaire des Laurentides qui a <<versé une subvention assez substantielle qui nous a permis de démarrer».

• Historique de la fondation par Louise Gouin.

• Bribes d'histoire de Mont-Rolland à l'occasion des 60 ans de la paroisse et de la

municipalité. Début du moulin: 1902, première production 31 juillet 1904. La première chapelle autorisée par Mu Bruchési le 18 juillet 1913. Le 3 avril 1918 érection canonique de la paroisse, le 29 juillet annonce dans la Gazette officielle de Québec de l'érection civile de la municipalité. La caisse populaire fondée le 16 février 1919.

• Cyprien Lacasse rapporte les souvenirs de Mme Éloi Legault (Orise Maillé), qui nous font revivre la fondation de Saint-Sauveur et révèlent l'atmosphère des débuts de l'implantation à la limite de la seigneurie des mille-Îles.

•  Alain Thibault, étudiant en histoire de l'université de Montréal, présente Un coup d'œil sur l'histoire de Sainte-Adèle. D'abord un portrait physique. L'endroit devient ouvert grâce aux chemins. Le chemin de te"e et la colonisation 1840-1900, Le chemin de fer et le tourisme 1900-1940, La route 11 en 1945 et/ 'autoroute en 1963, enfin la commercialisation, voilà les têtes de chapitre qui révèlent le point de vue de ce survol historique.

• La chronique de livres touche La terre promise: le Mythe du Nord québécois, et

L'enfant perdu et retrouvée édition 1978 chez Fides.

• Dans son rapport d'activité, Jacques Gouin exprime un remerciement spécial à M. Richard Jobson de la Librairie Saint-Sauveur. La Société est maintenant incorporée, en vertu de la loi des compagnies du Québec; elle est membre du Conseil régional de la culture des Laurentides et de la Fédération des sociétés d'histoire du Québec. On y apprend qu'André Joncas et lui ont assisté au 13e congrès de la Fédération à Granby.


Numéro2          Été 1979

• Souvenirs de M. Patrick Goyer, livreur de pains chez Pagé, le boulanger installé depuis 1911.

• Jacques Gouin nous propose un texte excellent et bien documenté (avis aux

chercheurs, la bibliographe est intéressante) sur Les origines seigneuriales de Saint­ Sauveur-des-Monts. Le régime survivra jusqu'en 1854, un an après la fondation de Saint-Sauveur. Officiellement car Louis-Hypolite Lafontaine, ministre chargé de ce dossier, réussit à imposer des étapes dont certaines devaient éteindre les derniers vestiges en 1971. Admettons avec l'auteur que cela vaut bien mieux que les révolutions sanglantes qui ont mis fin à ce régime dans d'autres parties du monde.

Les contrats pour concessions de terres obtenues par les premiers colons portent

parfois le nom du seigneur Maximilien Globenski et parfois celui de son co-seigneur de Bellefeuille. Cet article suit tous les conseils que M. Gouin donnait aux historiens dans sa causerie du premier juin 1979 sur la méthodologie historique.

• Suit une chronique des livres d'histoire locale qui avaient attiré l'attention de la rédaction.

 

Numéro 3 Automne 1979

  • Hommage à Laurent Pichet, peintre. Les noms de personnes au Québec.

  • Histoire du chemin de fer : La ligne laurentienne.

  • La Pension du Duc Dimitri de Leuchtenberg, à Saint-Sauveur.

  • Dans la chronique Les Anciens se racontent : Alcide Alary de Saint-Sauveur .

 

Numéro 4 Hiver 1979

Les débuts de Saint-Jovite à l'occasion du centenaire de cette municipalité. Sainte­ Adèle est fondé en 1842, Saint-Sauveur en 1843, Saint-Jovite en 1879, Labelle en


1880 et Saint-Adolphe d'Howard, en 1882 rappelle Jacques Gouin.

L'histoire de cette fondation fait ressortir l'implication des curés du Nord dans les fondations. En 1870, le curé Antoine Labelle de Saint-Jérôme fait le voyage vers Saint-Jovite avec son inséparable Martin Gauthier. Une croix de pierre rappelle la première messe qu'il y a dite. En 1870 également, le curé Jodoin de Saint-Sauveur a visité le Grand Brûlé et a obtenu de l'argent pour tracer le chemin de La Ripouce en pleine montagne au bas de laquelle, sur le côté Nord, devaient s'installer les défricheurs de ce qui sera Saint-Faustin. Marielle L. Léonard continue à faire revivre les débuts de Saint-Jovite sur 37 pages d'une écriture tassée et dans le style alerte que nos lecteurs lui connaissent, car elle a écrit d'autres articles dans nos Cahiers.

On voit à travers les anecdotes l'importance des pouvoirs d'eau. On découvre aussi que les colonisateurs venaient de Sainte-Agathe, de Sainte-Adèle. L'auteur les nomme et situe le lieu de leur implantation. Le premier curé, l'abbé Samuel Ouimet, était né à Saint-Jérôme. La paroisse de Saint-Jovite appartenait au diocèse d'Ottawa mais le prêtre avait été prêté par Mgr Bourget à Mgr Duhamel. Des anecdotes écrites nulle part ailleurs sur le curé Labelle, sur les disputes pour localiser les églises, les aléas de la scolarisation des enfants et la division du territoire d'avec celui d' Arundel, le remplacement des colons anglais qui nous avaient devancés sur ce territoire, la construction du premier aqueduc, et, dès 1888, l'installation de l'électricité, l'implantation des premiers magasins, des inédits sur la carrière fructueuse du notaire Barrette et des premiers médecins J. Bigonese, Wilfrid Provost et J.-E. Gervais émaillent ce texte merveilleux. Une autre primeur: la liste des 69 premiers colons, avec le village d'où ils venaient, la date de leur arrivée, et le numéro de lot où ils ont oeuvré.

  • Dans la chronique des livres, on parle pour la première fois de notre chère Tante

Agathe Lessard, à Victor, à Richard, à Noël. Un vrai beau Cahier..

 

Numéro 5 Printemps 1980

  • Notre premier Cahier à parler du ski des les Laurentides a été vite épuisé.

  • Mais il ne faudrait pas perdre les souvenirs de Florida Gagnon et de Agathe Lessard­ Lacasse.

  • Un premier texte sur les Beauharnais, duc de Leuchtenberg.

 

Numéro 6 Été 1980

  • Histoire d'un colon (première partie) Wilfrid Lapointe raconte sa vie de colon en 1880, un texte qui sera continué dans nos deux prochains cahiers: un témoignage important et inédit recueilli par Marielle Lapointe-Léonard !


  • La chronique les Anciens se racontent : Roméo Lafleur.

  • Les carnets de Tante Agathe avec la généalogie des Lessard...

 

Numéro 7 Automne 1980

  • Un document important de Jacques Beauchamp-Forget: La toponymie de Saint­ Sauveur avec une bonne bibliographie. Chaque lac, chaque rue établie en 1980 révèlent le secret de leur nom.

 

Numéro 8 Hiver 1980

  • Cyprien Lacasse continue sa chronique Nos anciens se racontent avec un citation de Beaudelaire... <<travailler est en fin de compte moins ennuyeux que s'amuser>>. Ici, Télesphore Léonard se raconte.

  • J'ai appris que le duc Dimitri de Leuchtenberg de Beauharnais aurait été le premier moniteur de ski véritablement qualifié et qu'il ouvrit à Saint-Sauveur la première école de ski. Il a obtenu le brevet numéro 421,608 pour un toueur de skieurs qu'il avait peut-être fait installer à la Marquise. C'était le premier «T- Bar)) des Laurentides.


  • La suite et la fin du texte Histoire d'un colon: merveilleux! J'ai appris que cent livres de fleur de sarrasin coûtaient 2.45$ pendant qu'un emplacement au village valait 500 livres soit 83.30$ payables à raison de 4.00$ par année. On apprend comment on pouvait faire les sucres en n'ayant que sa hache pour outil... Les petits secrets des fréquentations, surtout avec la servante du curé, nous sont révélés...

  • Et l'immense épreuve que devenait la maladie...Un vrai beau trésor d'histoire.

  • Léo-Paul Desrosiers, historien et romancier, conservateur à la bibliothèque de Montréal, a vécu à Saint-Sauveur de 1949 à 1964. Son épouse, Marie-Antoinette Tardif écrivait aussi sous le pseudonyme de Michelle Le Normand.

  • Le Cahier se termine par les Statuts et Règlements de la Société d'histoire.

 

Numéro 9 Printemps 1981

Jacques Gouin livre une étude sur l'expression les pais d'en hault du gouverneur Ramesay en 1715 et les Pays-d'en-Haut qui, depuis Claude-Henri Grignon, sont le toponyme du territoire situé entre Saint-Jérôme et Mont-Laurier. Deux pages précieuses.


  • Suit l'historique de la Hill 70 et du ski qu'on y faisait.

  • La chronique Les Anciens se racontent : Hervé Beaulieu. On y apprend qu'un gros accident est arrivé durant la construction de l'église de 1903, on sait le prix des aliments en 1905, que les deux forgerons Jules Beauchamp et Louis Ratelle étaient

  • en même temps barbiers. On fait un relevé de tous les métiers anciens et de leurs titulaires. Le prix du baril de potasse, les morts mystérieuses, les 125 truites rouges qu'on pouvait pêcher dans une demi-journée, comment on peut sortir le poële à bois pour se faire de la place pour danser... Les grands malheurs collectifs: départs pour le Klondike, conscription, grippe espagnole. Pour la première fois on a un écrit moins apologétique de la dispute entre le curé Desjardins et les hôteliers sur la question de la tempérance. Trois pages savoureuses.

  • Un autre inédit extraordinaire, une entrevue du chanoine Paul Labelle avec la fille d'Isidore Charbonneau le fidèle compagnon du curé Labelle qui lui a d'ailleurs confié sa mère qui ne devait mourir que six mois après lui. Isidore avait le don de guérir les rhumatisme qui lui aurait été légué, en présence du curé Labelle, par un père jésuite. L'abbé Bélisle admettait de tout coeur lui devoir sa guérison qui lui avait permis de rester au séminaire et de devenir prêtre.

  • Agathe Lessard-Lacasse raconte la carrière de Louis Bisson aviateur de la première heure qui a fait ses premières armes au service des missionnaires jésuites du grand Nord et qui allait devenir célèbre·pour avoir été le pilote de Lord Mountbatten, Sir Anthony Eden, Winston Churchill quand il rencontra Staline à Moscou, Édouard VIII et combien d'autres.

  • Jacques Gouin commence ses chroniques d'écrivains des Laurentides par un bijoux

  • sur Léo-Paul Desrosiers et Michelle Le Normand. Huit pages parfaites.

  • On rappelle aussi les 65 ans du Cercle des Fermières.

 

Numéro 10 Été 1981

  • Sem Lacaille, un grand bourgeois à Nominingue, créateur vers 1905, de la Bellerive Veneer and Plywood Ltd Et constructeur d'un immense château qu'il voulait offiir à Sir Wilfrid Laurier.

  • Ce cahier ofile les premiers travaux du groupe de recherche sur l'histoire du ski dans les Laurentides.

  • Dans sa chronique d'écrivains des Laurentides Jacques Gouin présente Claude Aubry.

  • Le cahier se termine avec la liste des quarante-six membres de la Société.

 

Numéro 11 Automne 1981

  • Les singuliers commencements de Nominingue titre ce cahier. Singulier en effet ce centre de colonisation qui, avant même d'avoir son premier colon possède la charte de son collège classique. En 1883, tout est prêt, on commence à s'installer mais c'est deux ans après la fameuse incorporation...


  • C'est dans ce cahier qu'on retrouve le fameux article de René le Clère sur l'allée des Polonais dans le cimetière de Saint-Sauveur.

  • Simone Constantineau rend hommage à Zénon Alary disciple d'Elzéar Soucy et d'Alfred Laliberté puis autodidacte qui a habité le village de Mont-Rolland. Le Musée Zénon Alary perpétue sa mémoire.

  • Saint-Jovite : le grand feu de 1902 et les 75 ans de Gray Rocks fondé par George Ernest Wheeler venu à la pêche en 1886 qui avait eu le coup de foudre pour le lac Séraphin qui allait devenir le lac Ouimet. D'abord propriétaire de moulin à scie, il reçut avec Lucille son épouse ses amis américains et se créa une réputation de pourvoyeur de chasse et de pêche. Après le feu de 1902 qui ravagea sa maison et ses sources d'approvisionnement en bois, il se reconstruit sur le cap de roche à l'abris des feux de forêt. Cela a empêché que le feu de 1905 ne détruise de nouveau son oeuvre. Le Gray Rocks Inn Ltd fondé en 1906 exprime, par son nom même, la reconnaissance de George Wheeler pour la masse rocheuse qui avait protégé son Auberge. Le reste de l'article parle de l'extension du territoire qui en 1918 disposait déjà de 1 800 acres de terrain. La création de Wheeler Air Line avec sa piste qui allait atteindre 4 200 pieds, la compagnie avait même un permis de transport de passagers entre Montréal et Londres. Dès 1923 on défrichait le premier golf de neuf trous. En 1927, le premier véritable programme de ski offert au Canada fut inauguré sous la direction de Bill Pauley. La plus connue des élèves de cette école est sans doute la fille de la maison, Lucille Wheeler première personne canadienne à remporter une médaille olympique.

  • Apparaissent plusieurs nouveaux noms de membres de la Société.

 

Numéro 12 Hiver 1981

  • Sans doute la plus belle page couverture avec un dessin de la Maison Rose par Lionel Banks.

  • On apprend que la Société nationale des québécois vient de nous décerner un prix de 1 000$ pour reconnaître la qualité de nos Cahiers depuis trois ans.

  • Mgr Louis Forget nous présente Jean-Paul Poulin, un grand éducateur.

  • Un article de Cyprien Lacasse donne un aperçu étymologique de nos noms de familles.

  • Jacques Gouin parle de Clarence Gagnon et les Laurentides.

  • Nos anciens se racontent : Hormidas Dagenais.

  • Dans sa chronique Littérature des Pays-d'en-Haut, Jacques Gouin présente Joseph­ Jérôme Grignon auteur du Vieux temps. C'était le frère du Vieux Doc, le docteur Edmond Grignon. Il était aussi le père de Germaine Guèvremont et l'oncle de

    Claude-Henri Grignon. C'était un avocat prospère et un nationaliste avoué. Article intéressant qui est complété par une généalogie sommaire de la grande famille Grignon à laquelle se rattachait avec fierté Jacques Gouin par sa mère.

  • Marielle Lapointe-Léonard nous livre un document inédit, le récit du mariage en

  • 1901 de Dorcina Bélisle, à Saint-Jovite, par Dorcina Bélisle : charmant.

 

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Numéro 13 Printemps 1982

  • La toponymie du village de Saint-Sauveur.

 

Numéro 14 Été 1982

  • Les Soeurs des Saints Noms de Jésus et de Marie dans les Pays-d'en-Haut.

  • La chronique Les Anciens se racontent sort pour la première fois de Saint-Sauveur: Joseph-Octave Meilleur de Sainte-Adèle. Pierre Paquin, qui a beaucoup servi la Société d'Histoire est collaborateur. La famille Meilleur est la seule des quarante­ trois familles fondatrices qui possède encore le bien paternel à Sainte-Adèle.

  • Dans sa chronique de littérature, Jacques Gouin nous offre un texte inédit qui reflète une recherche fine sur les amours de Michelle le Normand et Albert Lozeau puis avec Léo-Paul Desrosiers.

  • Un article sur Louis Empain à l'occasion de l'enlèvement de son richissime neveu le lundi 23 janvier 1978. Des renseignements inédits une bonne bibliographie.

  • Pour les férus d'archives l'article-conférence du père Joseph Cossette archiviste de la Compagnie de Jésus, province du Canada français, à Saint-Jérôme: une perle!

  • Un rappel de corvée de bois de chauffage pour les pauvres de Montréal le 14 janvier 1871. Cyprien Lacasse y voit que le bon curé Labelle voulait aussi mousser son chemin de fer par cette grande opération publicitaire.

 

Numéro 15       Automne 1982

  • Une grande figure de Saint-Sauveur occupe la chronique de Cyprien Lacasse: Nos anciens se racontent. Le docteur Joseph Octavien Lapointe. Cet article auquel a collaboré Cyrille Lapointe un pilier de la Société d'histoire rappelle le dévouement d'un homme à ne pas oublier. Pour comble de générosité Cyrille a dû promettre à son père de brûler ses livres de souvenirs en même temps que ses livres de comptes. C'est pour cela que les créanciers qui avaient oublié de payer n'ont jamais entendu parler de leurs dettes envers le bon vieux médecin...

  • Le second personnage présenté est nul autre que Jacques Gouin lui-même. Une richesse que la liste complète de ses publications...

  • Augustin Norbert Morin par Augustin-Norbert Morin. L'auteur est l'arrière petit

    neveu du fondateur de Sainte-Adèle et cet article devrait être lu par toute personne qui veut faire de l'histoire locale.

  •  Jacques Gouin se surpasse dans sa chronique La littérature des Pays-d'en-Haut: Il parle d'Edmond Grignon, le vieux Doc. L'occasion : la réédition de En guettant les Ours. Tous ses textes surtout celui-ci qu'on a réédité cinq fois au moins et Quarante ans sur le bout du banc <<mériteraient d'être lus par les jeunes et relus par les vieux, notamment dans les Pays-d'en-Haut.►>

  • On fait l'histoire d'une institution locale : La Librairie Saint-Sauveur Ltée.

 

Numéro 16. Hiver 1982

  • Les premières écoles de Saint-Sauveur par Cyprien Lacasse, ancien directeur de l'école Saint-Édouard.

  • Augustin-Norbert Morin et la légende de Sainte-Adèle, suite du cahier numéro 15.

  • Un texte charmant de Madeleine Payette: Souvenir d'une citadine à la campagne où l'on voit que son fils Pierre, notre actuel président était bien protégé par Maman Payette...

  • La chronique littérature porte sur Claude-Henri Grignon.

  • Texte et commentaires sur le chant Un Canadien errant.

  • Un texte à conserver de Cyprien Lacasse sur l'inspecteur d'écoles.

  • Texte de la conférence de Fleurimont Boucher de la Bruère sur son père, l'historien Montarville Boucher de la Bruère.

  • La colonie des artistes à Saint-Sauveur-des-Monts: il est question de M. Godeau, père de Marthe Tierry, Albert Duquesne, Jean-Pierre Masson, Paul Gury, Yvette Brindamour, Fred Barry, Olivette Thibault, Lucille Turner, Henri Dayglun, Mimi d'Estée, Henri Poitras, Paul Martin. Un texte suit, par Henri Poitras, sur le même sujet.

 

Numéro 17 Printemps 1983

  • Marc-Aurèle Fortin et les Laurentides.

  • Nos Anciens se racontent : Wilfrid Campeau de Saint-Sauveur.

  • L'histoire des beurreries dans les Laurentides (Edmond Brousseau).

  • Suite des souvenirs d'une citadine par Madeleine Payette.

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Numéro 18 Été 1983

  • Zénon Alary sculpteur et Origines du Musée Zénon Alary.

  • Littérature du Québec : Dr Edmond Grignon. Aspect géographique et historique de Saint-Sauveur.

  • Les Trottier et les Saint-Denis.

  • Rosaire Venne, le Jean Narrache des Laurentides.




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Numéro 19 Automne 1983

  • Le Dr Gilles Grignon. Arthur Buies.

  • Les 25 ans de la Caisse populaire Saint-Sauveur . Le curé Labelle.

  • Les premiers colons de Saint-Sauveur .

 

 

Numéro 20 Hiver 1983

  • Claude-Henri Grignon: tout le Cahier composé par Francine Raby et Colombe Patry est dédié à notre grand auteur. Travail de minutie, ce texte universitaire nous apprend bien des choses.

 

Numéro 21 Printemps 1984

  • Les origines de Saint-Sauveur. - L'église actuelle de Saint-Sauveur. - Promenade Saint-Sauveur.

  • Mgr Lionel Scheffer, O.M.I. Mon père, le Dr Henri Grignon.

  • Vestige de la Russie impériale dans notre milieu.

  • La Maison Rose.

  • La Maison Victorienne.

  • Yves Thériault, le romancier de Rawdon.

  • Mère Marie-Rose.

 

Numéro 22 Été 1984

  • Nos Anciens se racontent: Henri Fortin de Saint-Sauveur.

  • Le centenaire de l'année : Léonidas Dufresne de Val-David.

  • Nos vieilles maisons : celle du notaire Chevalier.

  • Mgr Joseph-Eugène Limoges. L'Habitat Saint-Sauveur-des-Monts.

 

Numéro 23 Automne 1984

  • Miette d'histoire des chemins de fer dans les Laurentides : En montant la rivière.

  • Littérateurs dans notre région : Guy Robert, historien de Sainte-Agathe .

  • Souvenirs du vieux Doc.

  • L' Orphelinat Notre-Dame-de-Montfort, première partie.


Numéro 24 Hiver 1984

  • Mon grand-père, l'honorable Pierre Boucher de la Bruère.

  • L'Orphelinat Notre-Dame-de-Montfort, seconde partie.

 

Numéro 25 Printemps 1985

  • L'Orphelinat Notre-Dame-de-Montfort, troisième partie. Historique du cercle des fermières de Saint-Sauveur .

  • La carrière mouvementée du Père Joseph Richard, s.j. Littérature des Pays-d'en-Haut.

 

Numéro 26 Été 1985

  • Saint-Sauveur d'autrefois en photos.

 

Numéro 27 Automne 1985

  • Toponymie de Saint-Jovite.

  • Souvenirs d'enfance chez mon grand-père, le vieux Doc. Le passé et l'avenir de la jeunesse dans les Laurentides.

  • Me André Bouchard-Lavallée, notaire à Sainte-Adèle de 1860 à 1874.

 

Numéro 28 Hiver 1985

  • Les Chartier de Saint-Sauveur, héritiers d'un nom illustre.

  • Souvenirs de mon père, le vieux Doc. (Première partie).

 

Numéro 29 Printemps 1986

  • Une folle aventure en Amérique .

  • Le ski a une histoire .

  • Littérature des Pays-d'en-Haut: Jacques Grand'Maison.

  • Souvenirs de mon père, le vieux Doc. (Deuxième partie)

 

Numéro JO Été 1986

Scotch, Irish and English sentlements in the Laurentians .

Littérature du Québec : La colonisation dans les radio-romans.


  • La famille Daigle-Laporte.

  • Le centenaire de Laurel.

 



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Numéro 31 Automne 1986

  • Un ancien résident de Piedmont: Mgr Olivier Maurault.

  • Le premier plan officiel de la paroisse de Sainte-Adèle.

  • Les Filiatrault et les Alary, familles de Madame Adonias Forget.

  • Formation en 1926 du nouveau conseil municipal de Saint-Sauveur-des-Monts.

 

Numéro 32 Hiver 1986

  • Un rêve réalisé, un texte de Jacques Gouin pour dire son attachement à Saint­ Sauveur.

  • Souvenirs d'un voyage au lac Chapleau, c'est la copie fidèle du texte original au plomb (avec quelques ajouts d'une version ultérieure faite à l'encre) de touristes de Montréal qui vont visiter le lac Chapleau. L'auteur est Marie Lacombe, baptisée le deux mars 1859 et tante de Claire Yale fondatrice de la société d'histoire des Deux­ Montagnes.

  • Journal des comptes du magasin général de Saint-Sauveur.

  • Généalogie : Chevalier dit Saint-Jacques.

 

Numéro 33 Printemps 1987

  • Résolution du conseil municipal de Sainte-Adèle sur les troubles au Manitoba. Exploitation des mines de Laurel.

  • Édition c1itique du roman Un Homme et son Péché .

  • Splendeurs et misères d'un historien. Histoire des familles Lajeunesse.

  • Historique du Canton d' Abercrombie.


Numéro 34 Été 1987

  • Rappel de la révolte historique de 1837 dont c'est le cent cinquantième anniversaire, l'abbé Potvin nous incite à honorer le jeune Alexis Lachance tué près de la vieille église de Saint-Eustache, le 14 décembre 1837.

  • Grande tëte au Lac-des-Seize-Îles.

  • François-Xavier Grignon, /'Ours blanc, à cause de son courage a été le témoin oculaire de la mort de Chénier: un texte de Jacques Gouin qui était son arrière­ arrière-petit-fils de même que Claude-Henri Grignon était l'arrière-arrière-petit-fils du frère de François-Xavier Grignon.

  • Les 01igines seigneuriales de Saint-Sauveur (première partie). Les quatre textes dont le premier paraît dans ce Cahier méritent toute notre attention et constituent une mine de renseignements pour tous les amateurs d'histoire locale qui ne veulent pas s'égarer ni rester trop flous dans leurs interventions. De nouveau grand merci à Jean­ François Corbeil.

  • Carolus Laurier, père de Sir Wilfrid Laurier.

  • Les Forget et les patriotes de 1837.

 

Numéro 35 Automne 1987

  • Centenaire de Saint-Rémi-d' Amherst.

  • La mine d'or.

  • Chronologie de Sainte-Adèle. Comme d'habitude, Jean-François Corbeil est allé au sources pour présenter 20 dates marquantes de l'histoire de Sainte-Adèle.

  • Intéressant pour les chercheurs!

  • Histoire d'une famille des Pays-d'en-Haut, celle de Sigefroy Ouellette écrite par sa fille alors elle-même grand-maman de 79 ans... Un texte à relire si on écrit l'histoire de Sainte-Adèle et de Mont-Rolland.


Numéro 36 Hiver 1987

  • Ce numéro tout imprégné de la peine que nous avions de perdre Jacques Gouin qui venait de décéder parle longuement de son action. Il nous avait aussi envoyé un article : La parenté des Lemoyne de Saint-Eustache couvre une quinzaine de pages. Les origines seigneuriales de Saint-Sauveur (seconde partie).

  • Les Archambault d'Amérique.

  • À Verdun, un lieu de recherches historiques.

 

Numéro 37 Printemps 1988

  • Le soixante-quinzième anniversaire du diocèse de Mont-Laurier: L'Église a 75 ans.

  • Une des premières fois que Louis-Charles Bouffard nous parle de ses cloches...

  • Les Seize-Îles. Un texte de Gil Cook qui n'a pas eu le retentissement attendu (peut­ être parce qu'il a été publié en anglais) est bien documenté et donne un éclairage différent de nos citations historiques habituelles <<respecfully dedicated to those wonderful people, our ancestors, who carved out of the wildemess a home, a summer retreat, and a priceless heritage.>> Citant Rudyard Kipling, il ajoute «God gave ail men ail earth to love, But, since our hearts are small, Ordained for each one spot should prove Beloved over ail».


Numéro 38 Été 1988

  • Souvenir d'un passé heureux, un texte fabuleux pour un amateur d'histoire locale, nous est présenté par Gaétane Mercure qui a passé 30 ans au service des prêtres de Saint-Jovite avec son oncle l'abbé Rodolphe Mercure.

  • Colonisation de la Petite Rouge et de la Maskinongé, un inédit de Joseph Genest,

  • c.s.v. et curé. Cet article donne un éclairage sur plusieurs faits mal connus de cette colonisation.

  • Isidore Gauthier de Piedmont: un texte fouillé comme d'habitude, offert par Jean­ François Corbeil.

 

Numéro 39 Automne 1988

  • Les origines seigneuriales de Saint-Sauveur (troisième partie). Le Calvaire d'Huberdeau.

 

Numéro 40 Hiver 1988

  • Sainte-Lucie de Doncaster.

  • Inventaire du greffe du notaire André-Bouchard-Lavallée (Première partie). Chronique sur le ski : Louis Cochand et Viateur Cousineau.

 

Numéro 41 Printemps 1989

  • Une centenaire : Florida Gagnon. La petite histoire de Vendée.

  • Une rencontre avec Louis Cochand.

  • Projet d'aqueduc venant de chez-nous à la ville de Montréal . Sainte-Agathe en 1893.

 

Numéro 42 Été 1989

  • Nouvel hommage à la centenaire Florida Gagnon avec une photo en page couverture où apparaissent l'abbé Paquette, Mgr Valois et l'abbé Jean-Adam.

  • Entre-Lacs.

  • Hydrographie du comté de Terrebonne. Les convictions du Curé Labelle.

  • Hortense Prévost derrière les barreaux.

  • Liste des hôtels de villégiature des Laurentides et plusieurs extraits tirés de diverses sources.

  • L'horloge de Mme de La Peltrie recherchée à Saint-Sauveur. Implantation et colonisation.




 

 

 


 

 

 

 

 



Numéro 43 Automne 1989

Les dix ans de notre Société d'Histoire.

Une centenaire à Saint-Rémi-d' Amherst, Évangéline Racicot par Léon Joubert.

Godfroy Laviolette, figure marquante des Pays-d'en-Haut.

Les origines seigneuriales de Saint-Sauveur (quatrième partie) par Jean-François Corbeil.

Sainte-Marguerite-du-Lac-Masson a 125 ans.

 

Numéro 44 Hiver 1989

  • Débuts touristiques de Sainte-Agathe.

  • Benjamin-Antoine-Testard de Montigny et son fils Louvigny, figures marquantes des Pays-d'en-Haut.

  • Dollard et ses compagnons, un article où je tente de rappeler que l'exploit de notre grand héros a vraiment sauvé la colonie en permettant à ceux qui devaient fonder la Compagnie de la Baie d'Hudson de descendre l'immense récolte de fourrures qui a relancé le commerce de la Nouvelle France.

  • La médecine au temps de Molière un article totalement hilarant sur la pratique de la médecine dans les hautes sphères de la Société.

  • La rivière La Lièvre .

  • Anecdotes d'une vie passée au séminaire de Mont-Laurier celle de l'abbé Guy Beausoleil. Propos recueillis lors de sa conférence par Francine Raby.

 

Numéro 45 Printemps 1990

  • Les 150 ans del'Acte d'Union.

  • À Sainte-Agathe: Quisiana par Elizabeth Wand. Que voilà un texte précieux. L'auteur avait soixante-dix ans quand elle écrivit, à la demande de ses amis, le récit de son expérience à Sainte-Agathe-des-Monts. Le chemin de fer dont parle l'auteure a été inauguré en juillet 1892. Elizabeth Wand ne donne malheureusement aucun repère permettant de situer précisément dans le temps le début et la fin de sa belle aventure. Ce texte doit figurer dans le bibliographie de tout historien qui cause de l'histoire de Sainte-Agathe.

  • Les Nantel et les Prévost. Cet article sur les deux familles ennemies de Saint-Jérôme est illustré de belles photos mieux rendues que d'habitude dans nos Cahiers.


Numéro 46 Été 1990

  • Les origines du village de Lafontaine.

  • Le vrai grand tremblement de terre du Québec. Douglas Lome McGibbon.

  • Christieville .


Numéro 47 Automne 1990

  • Les officiers de la Milice de Saint-Sauveur. Sainte-Agricole.

  • Sainte-Agathe: historique de la Trinity Church. Les frères Lacasse - Claude Thomas dit Beaulieu.

 

Numéro 48 Hiver 1990

  • Le centenaire de la mort du Curé Labelle. Louis Ratelle, le forgeron du village.

  • Généalogie des Ratelle de Saint-Sauveur.

 

Numéro 49 Printemps 1991

  • Joseph-Pacifique Plante, inspecteur d'écoles. Les nations autochtones.

  • Mgr Paul Labelle.

  • Notes généalogiques sur les Bouffard.

 

Numéro 50 Été 1991

  • Le Grand Dérangement un article qui est dédié aux nombreux lecteurs qui comptent des Acadiens dans leur ascendance et particulièrement ceux qui viennent de la petite Acadie, Saint-Jacques de Montcalm. J'ai voulu mettre par écrit la belle histoire de grand-mère Brault sur la tragédie du grand Dérangement.

  • L'Inspecteur d'écoles par Cyprien Lacasse.

  • L' Habitant . Joseph Bureau.

  • Une belle famille terrienne, les Bohémier.

  • Les trouvailles de Madeleine Payette sur Albert Duquesne.

 

Numéro 51 Automne 1991

  • Louis-Joseph Papineau. La famille Meilleur.

  • Hommage à Madame la Duchesse Catherine. Les inspecteurs d'écoles d'autrefois.

 

Numéro 52 Hiver 1991

  • La parade du Père Noël dans les années 30. Comment vivaient nos ancêtres.

  • D'autres notes généalogique sur la famille Bouffard. Le Curé Labelle fait pleurer ses invités.


Numéro 53        Printemps 1991

  • Des collaborateurs nous envoient des textes qui complètent des dossiers: monsieur Jean-François Corbeil nous présente Arthur Buies d'un façon plus complète, monsieur Claude Lambert nous revient avec un complément d'information sur Joseph Bureau, le grand coureur de bois.

  • C'est une autre réponse à cette demande que le texte de monsieur Émile Raby vient apporter. Ce récit ancien rapporte le cheminement de sa famille qui partit de Sainte­ Adèle où elle vivotait sur une petite terre de roches pour aller coloniser la région fertile à souhait où se créait le village de Ferme-Neuve. Les parents et amis de monsieur Raby se rappelleront sans doute avec émotion que l'auteur de cette histoire est revenu mourir à Sainte-Adèle, le village qui avait vu naître la plus grande partie de sa famille.

  • Les origines de la chapelle de Saint-Sauveur.

  • La poste d'autrefois.

  • Léontine Lessard.

  • Arthur Fleurant se raconte : survivre malgré les obstacles et les temps difficiles... par Daniel Deslauriers. ,,Solide comme un chêne malgré ses 77 ans (il en aura bientôt 78), Arthur Fleurant a aussi la mémoire des faits. Souvenirs d'enfance, faits marquants et petits gestes du quotidien sont encore bien vivants dans la mémoire de celui qui a pratiqué mille et un métiers au cours de sa vie». 


Numéro 54 Été 1992

  • Montréal, fille d'une société secrète. Lambert Closse.

  • Sainte-Adèle fête ses 140 ans. Documents d'archives de Sainte-Adèle.

 

Numéro 55 Automne 1992

  • Hommage à Monsieur Cyprien Lacasse un homme dont la présence a soutenu toutes les oeuvres culturelles et dont l'épouse, Tante Agathe, nous a gâtés de son amitié et de son verbe chaleureux. Sans lui, il y a longtemps que je me serais sauvé de la production de nos Cahiers. L'hommage de Réal Moreau, un ami et collègue inspecteur d'écoles est bien mérité. La photo de couverture, que nous a fournie son neveu monsieur André Tison, membre de notre Société, aura rappelé à tous son sourire franc, digne et amical.

  • Nos Anciens se racontent : sous cette rubrique, Monsieur Cyprien Lacasse a publié une série impressionnante de portraits d'anciens et d'anciennes. Saisis dans leur milieu naturel, ces entretiens renseignent et émeuvent. Ses interlocuteurs étaient à l'aise avec lui et les textes fournis réussissent à livrer aux lecteurs, comme il en avait l'ambition, <<un langage coloré comme nos Laurentides en automne, clair comme les eaux cristallines de nos ruisseaux, franc comme le bel érable, parfois mélancolique comme la bise, mais toujours tendre comme la mie du bon pain de chez nous>>.

  • J'ai choisi pour vous la première de ces entrevues menée le mercredi 21 mars 1979. Monsieur Lacasse, accompagné de monsieur Émile Saint-Germain, rencontrent madame Éloi Legault, à Rivière Cimon, (ici épelé Cimon parce que la première cartographie officielle du Ministère des Terres et Forêts l'écrivait ainsi). C'est tiré du tout premier Cahier qu'ait publié notre Société, il y a treize ans, en 1979.

  • Dans le relevé des décès de Saint-Sauveur-des-Monts édité par madame Berthe Forget Brissette et que vous pouvez consulter à notre local, je retrouve, à la page 110, que madame Legault, née Orise Maillé, épouse de monsieur Éloi Legault, dont les père et mère étaient Joseph et Adèle Deschambault est décédée le 13 février 1985; sa sépulture a eu lieu le 15 février. Elle est décédée à 93 ans.

  • Mes vieux Amis disparus par Agathe Lessard Lacasse (à Victor).

  • Jacques Cartier ressuscité par Jacqueline April.

  • Rapport de lecture : Le Christ et le Roi : Les premiers Montréalais par Victor Lavoie.

  • L'Éducation supérieure des Femmes au Québec un document de belle facture et un travail universitaire «Aujourd'hui, on ne se surprend plus de voir des classes universitaires où se retrouvent plus de femmes que d'hommes. Pour la femme d'aujourd'hui, de plus en plus, le droit à une carrière de son choix est un acquis. Toute carrière, qu'elle soit prestigieuse ou non, lui est ouverte. Il suffit qu'elle possède le talent et qu'elle soit prête à s'investir dans la profession qui répond à ses aspirations. 2 Mais, en a-t-il toujours été ainsi? L'éducation a-t-elle traditionnellement été aussi ouverte aux femmes dans l'histoire du Québec? L'article documenté répond à la question... par Julie Lavoie.


Numéro 56 Hiver 1992

  • La belle époque du P'tit Train du Nord par Jacqueline April.

  • Au temps du P'tit Train du Nord à Sainte-Adèle par Lucien Dubé et Victor Lavoie. J'ai rencontré avec beaucoup de plaisir un amateur des choses d'autrefois, monsieur Lucien Dubé. Il nous fait revivre la même période, mais du point de vue d'un petit gars de Sainte-Adèle, spectateur attentif et acteur intéressé. Ce document a été vendu en dizaine d'exemplaires en dehors même de la Société. Il devrait être lu par toute personne qui veut faire l'histoire du ski dans les Laurentides.


2 REGISTRAIRE, Bureau du. Statistiques d'inscriptions 1991. Montréal, Université de Montréal, décembre 1991.



  • Louis Cochand, un skieur entré dans la légende, un document produit par ses enfants et traduit en langue française par Jacqueline April.

  • Notes d'entrevue avec Jack Rabbit Johannsen par Jacqueline April.

  • L'Association des clubs de ski des Laurentides par Lucien Lachapelle.

  • Hommage à un ami disparu par Jacques Dunant. Monsieur Jacques Dunant nous a fait parvenir un hommage à un collaborateur de nos premiers Cahiers d'Histoire : monsieur Fleurimont Boucher de la Bruère. Toute l'équipe se joint à moi pour honorer ce savant et sympathique chercheur. Nous n'avons pas hésité, même si ce numéro de nos Cahiers est thématique à y insérer cet hommage mérité dont nous remercions l'auteur.


Numéro 57 Printemps 1993

  • Un Personnage mystérieux, Vous voulez savoir qui ? Allez voir, ça vaut la peine. Le texte est de Josette Chedel de la célèbre famille des Cochand et la traduction de Jacqueline April.

  • Petite Synthèse historique régionale, un document du Conseil de la Culture des Laurentides.

  • De la Justice à la Réconciliation par Alain Bissonnette : un des meilleurs textes sur

    l'approche de l'historien et de l'anthropologue sur les relations souhaitées avec les premières nations. Un texte à relire. Notre histoire régionale a été très marquée par la présence amérindienne. Monsieur Alain Bissonnette nous revient avec une explication très intéressante et porteuse de paix du fameux Wampum qui apparaît sur toutes les ceintures d'amitié que les premiers occupants de notre territoire ont données à nos ancêtres. Ce symbole puissant dit, dans l'ouverture à l'autre, la volonté de vivre sa différence. Il impose cette différence comme essentielle à la cohabitation. Et si cette condition est remplie, l'acceptation de l'autre culture devient possible et même souhaitée. Appliqué à notre expétience avec les peuples autochtones, l'esprit du Wampum peut générer une situation plus juste et plus harmonieuse. Les idées véhiculées par Me Alain Bissonnette civiliserait certainement les relations tendues entre les groupes de l'ensemble multiculturel du Canada. Elle devrait pouvoir nous guider (car l'histoire est aussi un guide) au moment des choix qui s'imposent à notre portion de pays.

  • La Pratique de la Généalogie par Victor Lavoie. Je me suis amusé à trouver des renseignements sur une famille ancienne de Sainte-Adèle, celle de Joseph Quevillon et de Eudoxie de Repentigny. Je me suis permis de vous livrer cette petite recherche parce qu'elle vous donne un exemple de ce que la documentation que vous trouverez à notre société vous permettrait de découvrir sur votre propre famille. Par hasard, ce travail contient des exemples où on doit procéder par recoupements entre les documents et même quelques cas où il faut procéder par hypothèses pour comprendre les situations. Comme souvent, on voit, à travers les lignes la conséquence, en deuil et en souffrances, du peu de confort des maisons d'autrefois; cela occasionnait souvent la mort des enfants qui naissaient durant les difficiles mois d'hiver.

  • Madame Fayette nous revient avec ses trouvailles sur Les Voyageurs des Pays d'en Haut.

  • Inventaire du greffe de Me André Bouchard Lavallée deuxième partie : 5 janvier 1863 au 18 janvier 1864, établi par Alain Trempe, archiviste.

 

Numéro 58 Été 1993

  • Une fondation: La Société d'Histoire de Sainte-Marguerite et d'Estérel. Le Centre d'interprétation des Irlandais du Québec.

  • FIGURES DE L'IDSTOIRE DES PAYS-D'EN-HAUT, ce titre général couvre des recherches d'un chercheur consciencieux, précis, c'est Jean-François Corbeil. qui n'écrit que sur des documents de première main. Ici il nous présente Louis-Sévère Lambert Dumont (1810-1841) Co-Seigneur des Mille-Iles et de l'augmentation.

  • Quand un article nous vient de lui, considérez que vous avez en main un document qui vous sera utile non seulement par son contenu mais encore par ses références. Son liminaire situe bien le lecteur «Bien qu'il soit probablement le membre le plus méconnu de l'illustre famille seigneuriale, Louis-Sévère Lambert Dumont est cependant le seul co-Seigneur qui ait résidé sur le territoire de la seigneurie de l'Augmentation des Mille-Iles»_

  • Un trésor: <<Non, le ciel n'est pas las d'enfanter des aurores. Et l'homme n'est pas las d'enfanter de l'espoir>> Robert Choquette.

  • Les racines des Copland au lac Marois, de 1903 à 1987. Auteur: Bruce Copland,

  • Montréal, été 1987. Traducteur : Jacqueline April : L'histoire commence en 1903. Ce texte montre par l'intérieur le monde touristique des anglophones qui, les premiers, ont vécu leurs vacances parmi nous.

  • Les Trouvailles de Madame Payette nous viennent de La Revue Moderne de mai 1930, elles portent sur Le Manoir de Montebello et sont de Jean Bruchési.

 

Numéro 59 Automne 1993

  • La situation démographique et socio-économique de la population de Sainte-Adèle vers 1860 est un document tout à fait extraordinaire. Son auteur, Claire Guénette maîtrise une langue exacte et une méthodologie de recherche sans faille. Il s'agit d'ailleurs d'un travail universitaire. Une phrase ou deux choisies au hasard ou presque vous dira que cet article ne contient pas que ces tableaux compliqués que j'ai eu grand'peine à reproduire: Ajoutons que des études sur les politiques et les décisions administratives des instances gouvernementales du Canada-Uni ont aussi aidé à comprendre mieux le contexte général dans lequel évoluait cette communauté de Sainte-Adèle en 1860. Il ne faut pas oublier que nous sommes avant la confédération et que la province de Québec comme entité politique autonome était disparue avec la liquidation du Bas-Canada et ne devait revivre qu'avec la Confédération. - Situation démographique: - L'âge de la population: comme il fallait s'y attendre, (s'établir sur un lot dans une région éloignée et le défricher exige une santé robuste et une dose énorme d'énergie) les statistiques nous révèlent une population jeune et active. Sur une population totale de 1628 âmes, 523, c'est-à-dire un individu sur trois sont âgés de 17 à 39 ans. Plus de la moitié de la population a moins de 16 ans. C'est là une promesse d'avenir pour Sainte-Adèle mais aussi un fardeau très lourd pour la population active. 59% de la population a moins de 20 ans, ce qui est plus élevé pour ce groupe d'âge que dans l'ensemble de la population du Québec que Hamelin et Roby qualifient de population type d'avant la révolution industrielle. 3 Enfin, un détail amusant, le plus vieux chef de ménage a 91 ans et le plus jeune, 18 ans.- Par contre le nombre d'enfants par famille est 5,7 en 1851 dans la province alors que, dans Sainte-Adèle, il est de 3,9. Dans un des trois districts de la Paroisse, on peut observer un phénomène assez surprenant: 17 couples n'ont pas d'enfant, bien que 2 seulement soient âgés de plus de 45 ans. Un document essentiel.

  • Toussaint Forget, mon grand-père par Mgr Louis Forget: <<Le souvenir de nos ancêtres se perd dans les nuages de l'oubli, si on ne prend pas soin de fixer notre mémoire sur le papier ou sur le film. C'est ce qui m'amène à vous parler de mon grand-père, Toussaint Forget (1822-1898), homme à la fois ordinaire et extraordinaire►>Relisons ce texte où le professeur reprend du service au bénéfice de l' Ancêtre.

  • La dernière contribution : Un moulin et son village, celui des Coutu à Saint-Donat.

    Un souvenir de mon enfance qui situe aussi un pan d'histoire de chez-nous.

 

3 Hamelin, J. et Y. Roby, Histoire économique du Québec 1851-1896, Fides, 1971,

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Numéro 60 Hiver 1993

  • Les débuts de Saint-Jovite, notes et commentaires de Victor Lavoie sur le grand article de Madame Marielle Lapointe-Léonard paru dans notre Cahier numéro 4, en 1979, et qui occupait tout ce Cahier. Le Cahier numéro 4 et celui-ci deviennent une bonne base pour qui veut comprendre les débuts de la région Saint-Jovite, Saint­ Faustin et Mont-Tremblant.


  • Le Répertoire numérique détaillé du fonds d'archives de la municipalité de la paroisse de Saint-Sauveur: - Présentation générale - Historique des débuts de Saint­ Sauveur - Présentation méthodologique - Première partie: rôle de perception et rôles d'évaluation - Deuxième partie : avis publics et serments d'office - Troisième partie : rémunération, comptes et autres documents financiers - Quatrième partie : requêtes et procès-verbaux - Cinquième partie : correspondances - Sixième partie : divers - Et enfin, l'index onomastique.


Numéro 61 Printemps 1994

  • Une rencontre avec Jeannette Cyr-Saint-Aubin - Mon grand-père Cyr - Historique de la Maison Thibaudeau de Piedmont.

  • Les retrouvailles des Thibaudeau en Acadie.

 

Numéro 62 Été 1994

  • Claude-Henri Grignon par Pierre Grignon, son neveu et le maire de Sainte-Adèle Je présenterai ce cahier par un extrait de mon mot de l'éditeur: «<Une photo prise et conservée par Pierre Grignon illustre la page couverture de notre Cahier d'été. Ce souvenir qui lui est très cher, situe l'écrivain Claude-Henri Grignon, son grand-oncle. On le voit en plein travail, tout occupé à prêter vie à ses personnages, puis à mimer les comportements qu'il leur assignait. Pendant ce temps, Claire, la fille adoptive de Claude-Henri Grignon, sa fidèle secrétaire, devait écrire tous ces textes, à une vitesse surprenante et dans le langage paysan qui s'imposait, en tapant assez fort pour que les quatre copies-carbones soient lisibles par les gens de Radio-Canada. Cette image de labeur exact et proche de la vie est celle que nous voulons privilégier en cette année du centenaire de naissance de Eugène-Henri Grignon, cet auteur auquel, sous le nom de Claude-Henri Grignon, les Pays-d'en-Haut doivent tellement. Le grand Sainte-Adèle a été, en effet, grâce à lui, le centre psychologique de ces Pays-d'en-Haut qui, à l'origine, devaient couvrir les immenses espaces de l'arrière pays.


Un article de Pierre Grignon constitue l'essentiel de notre rappel de la vie de ce grand citoyen non conformiste qui a symbolisé l'acharnement paysan et la nécessaire incrustation dans le terroir qui pouvaient seuls, pensait tout le mouvement colonisateur, assurer la survie et l'épanouissement de notre petit peuple en terre d'Amérique.

Nous avons déjà parlé de la vie de Claude-Henri Grignon dans un cahier précédent à l'occasion de l'anniversaire de la parution d'Un Homme et son Péché. L'article de Pierre Grignon élargit le sujet pour rappeler à notre mémoire collective que Claude­ Henri Grignon est l'auteur d'autres oeuvres importantes qu'il faut lire avec les yeux du temps passé et le coeur éternel de ceux qui veulent le bien de notre petit peuple. Pendant trente ans et plus, d'abord à la radio, du début de la deuxième guerre jusqu'en 1962 et ensuite à la télévision de 1956 à 1970, les Belles Histoires des Pays d'en Haut ont introduit Sainte-Adèle dans chaque chaumière du Canada :français. Il est donc tout à fait naturel que les amateurs d'histoire régionale lui adressent une pensée reconnaissante.

  • La Société d'Histoire des Pays-d'en-Haut se réjouit que la Chambre de commerce de Sainte-Adèle ait apposé une plaque commémorative sur la maison natale de Claude­ Henri Grignon, comme nous l'avions fait sur sa résidence, il y a quelques années. Au début des têtes du centenaire, Pierre Grignon a livré une conférence sur la famille Grignon. Tout le nord a été transformé par les descendants d'un hôtelier de Saint­ Jérôme d'où a surgi une famille de savants et d'écrivains qui ont cru au rêve un peu fou du Curé Labelle et ont vécu sans regret au service des colons de notre pays neuf Nos Cahiers ont souvent fait écho à ces illustres pionniers desquels Claude-Henri Grignon reprend la pensée et l'esprit de service. Il était donc normal, comme en a décidé la Municipalité à l'occasion du centenaire, que la bibliothèque de Sainte-Adèle portât le nom de cet amant des livres dont l'immense bibliothèque est maintenant partie du patrimoine national ayant été acquise par la Bibliothèque nationale.

  • Notre deuxième article vous livre quelques notes ramassées par moi au cours des ans sur le fondateur du grand Sainte-Adèle, Augustin-Norbert Morin. J'aurai atteint mon but si, comme moi, vous êtes surpris de l'importance de cet homme peu connu dans nos villages (sinon par les rues Morin qui se répètent à toutes les bornes du grand chemin).

  • Pour les trouvailles de madame Payette, c'est un texte qui nous vient d'un membre émérite de notre Société, monsieur Arthur Prévost, longtemps journaliste au Petit Journal. Notons qu'il fut le responsable de la rencontre de Guy Maufette et de Claude-Henri Grignon initiant ainsi une longue collaboration à la radio.

  • Le texte de monsieur Prévost porte sur un tout autre sujet. Il nous présente une très ancienne compatriote anglophone de la famille des Wheeler, rencontrée il y a un demi-siècle pour le Petit Journal.

  • Le Cahier se termine par le compte-rendu de l'assemblée générale annuelle de la Société d'histoire des Pays-d'en-Haut..

 

Numéro 63 Automne 1994

  • Historique et développement de Piedmont: c'est le Cahier où Lucien Galipeault s'est fait la main pour les deux Cahiers sur Saint-Sauveur qu'il allait nous offrir. Mais ce Cahier est déjà nécessaire à toute personne qui cherche des renseignements sur la région de Piedmont. La Municipalité l'a reconnu par une réception civique mémorable. Il contient de l'information sur le cadre géographique et historique de la municipalité de Piedmont, une partie de l'étude de la Société Technique d'Aménagement Régional inc. (sotar) faite pour inventorier et évaluer le patrimoine architectural de la municipalité avec notes et commentaires de Lucien Galipeault, de Jean-François Corbeil et de Victor Lavoie. Puis viennent les chapitres sur la colonisation, les débuts du tourisme, la Maison Thibodeau, l'historique du moulin Guénette, «petit complexe proto-industriel situé au Grand Ruisseau. Si vous étudiez la colonisation de Piedmont ne manquez surtout pas le dernier chapitre sur les propriétaires de lots dans la concession de la rivière du Nord. M. Lucien Galipeault y a fait, et bien fait, un travail de moine...

 

Numéro 64 Hiver 1994

  • La Paroisse de Saint-Sauveur. Le premier de deux Cahiers dus entièrement à la plume alerte de notre président d'alors, Lucien Galipeault. C'est dire qu'il est bien écrit et bien documenté. Pas de meilleure présentation que la sienne que voici : <<Le 10 février dernier, le 140e anniversaire de l'érection canonique de la paroisse Saint­ Sauveur est passé inaperçu. Le 4 décembre 1994, ce sera le 90e anniversaire de la célébration de la première messe dans l'église actuelle.

La Société d'histoire des Pays-d'en-Haut entend souligner ces deux anniversaires en consacrant le soixante-quatrième cahier de sa collection à l'historique de cette paroisse. La richesse du passé lointain ou récent de la paroisse nous oblige à rappeler les gens qui l'ont façonné et les événements auxquels ils ont fait face. Dans un cheminement de cent quarante ans, à côté des grandes choses qui s'y sont déroulées, les petites prennent un sens pour qui sait les observer. Nous rappellerons donc au souvenir de chacun ces événements qu'ont vécu les gens d'alors et ceux d'hier.


  • Le bureau de poste a longtemps porté le nom de <<Saint-Sauveur-des-Montagnes>>, vu que le «village est entouré de montagnes>>, dit le Magnan, paru en 1925. <<Ce nom de «Saint-Sauveur-des-Montagnes>>, le bureau de poste le portera jusqu'au 2 septembre 1957 alors que la Poste l'abrège en <<Saint-Sauveur-des-Monts>>, comme le font les gens du milieu.

  • En 1961, du temps du chanoine Rosario Laurin, le semainier paroissial est la seule entité à porter encore le nom de «Saint-Sauveur-des-Montagnes>>. La municipalité de la paroisse Saint-Sauveur compte 1800 habitants répartis sur un territoire de 44,47 km2 alors que la municipalité du village Saint-Sauveur-des-Monts compte 2 600 habitants sur un territoire de 3,52 km2•

  • Le village Saint-Sauveur-des-Monts est entouré par Saint-Sauveur (paroisse). La carte professionnelle des maires figurant sur le recto du programme officiel de la tète de la Saint-Jean de 1995 devrait nous guider dans l'appellation des deux municipa­ lités:

-  M. Jean Pelletier, maire - Village Saint-Sauveur-des-Monts

-  M. Charles Garnier, maire - Municipalité de Saint-Sauveur

  • On trouve, en page couverture de ce Cahier sur l'histoire de Saint-Sauveur, une explication des armoiries de la Municipalité de Saint-Sauveur qui sont comme vous le savez : Le profil des montagnes - 2 haches croisées sur un épi de blé - Le soleil ayant en son centre un flocon de neige - 2 rameaux de laurier.

  • L'auteur cite des auteurs connus et sa bibliographie est excellente :  Arthur Buies n'écrivait-il pas, dans une chronique datée du 24 août 1882, <<qu'à cinq ou six milles de l'église (de Saint-Jérôme) commençait la forêt, une forêt épaisse, infinie, regardée comme inaccessible. On croyait avoir atteint la limite des terres cultivables et le mot «nord» signifiait qu'il n'y avait plus, au delà de Saint-Jérôme, qu'un printemps fugitif, qu'un été illusoire» .

  • Mais le climat est très salubre : «On comprend aisément que le climat de ce territoire laurentien soit des plus salubres et qu'il ait été fortement recommandé par les médecins à ceux qui devaient refaire leur santé. «Si Saint-Sauveur fut, autrefois un village à peu près exclusivement agricole, ses citoyens ont su utiliser, depuis plus de cinquante ans, le charme de ses lacs, la beauté de ses montagnes et de ses sites, la salubrité de son climat, pour en tirer des avantages considérables au point de vue touristique»

Voici les titres des chapitres :

  • SOMMAIRE.

  • Présentation par le Président et Mot de !'Éditeur.

  • Saint-Sauveur ou Saint-Sauveur-des-Monts?

  • L'aspect géographique de Saint-Sauveur.

  • Les origines de Saint-Sauveur.

  • La vie ancestrale.

  • Le recensement des terres de 1887.

  • La vie municipale.

  • La vie économique

  • Si vous ne relisez qu'un seul de nos Cahiers, ce devrait être celui-ci. Grand merci à Lucien Galipeault.

 

Numéro 67 Automne 1995

  • Le Mot de passe de Pierrette Couillard présente un logiciel de généalogie.

  • Édouard Pagé, boulanger à Saint-Sauveur (Ajout d'illustrations de la SHPH) est dû à la plume de Lucien Galipeault, ça veut dire que c'est bien écrit.

  • Généalogie des Pagé et des Forget : corrections apportées par M.8î Louis Forget.

  • «Si j'étais maire >> par M. le curé Jean Adam. Une trouvaille de Lucien Galipeault. L'hôtel Belmont de Sainte-Marguerite, rapport d'une rencontre-conférence de la Société d'histoire de Sainte-Marguerite et d'Estérel.

  • Les débuts de la paroisse de Mont-Rolland: relevé de lecture de Lucien Galipeault tiré du livre de l'abbé Edmond Langevin-Lacroix imprimé au Devoir en 1927..

 

Numéro 68 Hiver 1995

  • Les débuts de Sainte-Adèle et de sa grande région, un article de Victor Lavoie qui répond à de nombreuses demandes, suivi de la présentation de photos anciennes de Sainte-Adèle commentées.

  • Jean-Pierre Masson celui qui a incarné Séraphin Poudrier, le personnage principal du roman de Claude-Henri Grignon n'est plus.

 

Numéro 69 Printemps 1996

  • Les moulins à scie de Sainte-Marguerite.

  • Pourquoi avoir fait de l'agriculture et non pas la culture du bois dans les Laurentides?

  • Les familles Pépin. Un numéro à grand tirage!

 

Numéro 70 Été 1996

  • Per Hall and Mont Saint-Sauveur article sur l'historique de la station de ski et de l'entreprise internationale par Per Hall, un des principaux artisans de ce succès. Sais-tu comment je m'appelle? Habitant, Canadien, Canadien français, Québécois, Québécois francophone, nos noms reflètent notre évolution historique.

  • Rencontre avec René DeRepentigny et son entreprise de moulin à scie par Victor Lavoie et Lorraine Raby.

  • Faire l'histoire à pieds: deux pistes de motoneige et de marche d'il y a vingt ans

  • que l'auteur, André Tison veut voir renaître.

  • Les leçons d'un vieux texte du Dr Wilfrid Grignon.

  • Bonne nouvelle: un relevé de patrimoine à Sainte-Agathe.

  • Rapport de l'assemblée générale 1996.

 

Numéro 71 Automne 1996

  • La généalogie : chaque amateur d'histoire doit savoir utiliser la numérotation Sosa­ Stradonitz et les notions comme l'implexe des ancêtres, savoir se débrouiller dans les dédales des archives et posséder les formulaires qui lui permettent de conserver en ordre sa documentation. Un exemplaire de nombreux formulaires est présenté. L'internet ouvre des perspectives nouvelles. Un article de Victor Lavoie.

  • Le Mot d'histoire par André Joncas situe les Aubry de Saint-Sauveur dans leur généalogie.

  • Un petit article dont le Père Cossette m'a dit beaucoup de bien complète ce Cahier, il a pour titre Ma Vache...

 

Numéro 72 Hiver 1996

  • Les activités de la ferme de Sainte-Adèle selon les saisons par Victor Lavoie. L'auteur fait le recensement de l'ensemble des activités à faire durant les années 1860 pour tenir sur nos terres ingrates. Il illustre ses idées principales.

  • Le Mot d'histoire par André Joncas rappelle la présence des Compagnons de la

  • Chanson à Saint-Sauveur et la première émeute et sans doute la dernière a avoir eu lieu à Saint-Sauveur.

  • Les Trouvailles de Madeleine Payette : un texte tiré de la Revue Moderne et

    composé par Damase Potvin : Louis Hémon cet inconnu. Ce merveilleux texte a cinquante ans !

 

Numéro 73 Printemps 1997

  • Grille d'utilisation du contenu de tous les Cahiers jusqu'au soixante-treizième4

  • Diaporama sur Saint-Sauveur.

 

4 La mise sous ordinateur permet des recoupements intéressants : ainsi, on parle de Saint-Sauveur plus de 80 fois; de Sainte-Adèle: 35 fois; d'Augustin-Norbert Morin: 4 fois comme de la famille Léonard; de la maison Rose: 3 fois; de la famille Wheeler: 5 fois. Ce type d'instrument facilitera beaucoup les recoupages et l'utilisation des bibliographies.


LM-073-05

 
 
 

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